Maman avertie et Cie
  • Nos p'tits derniers!
  • Équipe Maman avertie et Cie
  • Contact
  • Jules et la FKP
  • Collaboration Vert Pomme

​

Tenir son enfant en laisse, oui ou non?!

27/7/2015

Commentaires

 
Photo
«J’ai alors compris qu’un enfant en bas âge (17 mois ici), qui aime explorer et découvrir, c’est difficile à tenir par la main en tout temps.»

Photo

Julie

Je fais partie des parents qui ont jugé instantanément les parents qui «tiennent leurs enfants en laisse» par le passé. Je croyais qu’ils ne savaient pas éduquer leurs enfants adéquatement et 
qu’il était impossible que j’en vienne à utiliser le petit harnais à enfant dans le futur… jugement facile d’une maman sans expérience!

Toutefois, une expérience récente de coude disloqué  lors d’une paisible marche a chamboulé ma vision des choses. En résumé, petit poulet voulait aller plus près du trou d’eau, en direction opposée de ses parents et pouf, elle est tombée, son bras a tourné, et son coude s’est disloqué! 

J’ai alors compris qu’un enfant en bas âge (17 mois ici), qui aime explorer et découvrir, c’est difficile à tenir par la main en tout temps. Dans un quartier résidentiel tranquille, sans voitures et sans danger, l’expérience est pratiquement agréable (si on oublie la position du dos recourbé). Mais remplacez la situation par une petite marche en ville et l’expérience agréable tourne vite au 
cauchemar. Je vous entends penser «et la poussette alors, pourquoi ne pas l’utiliser?» et j’ai envie de vous répondre «si seulement petit poulet acceptait de s’y asseoir...»!

Bref, un coude réparé plus tard, me voilà, fière propriétaire d’un harnais à bébé, muni d’une laisse. De retour d’une agréable promenade dans la Vieille Capitale, mon choix est clair : cet été, 
je vais tenir ma fille en laisse lors de nos sorties, peu importe les regards désapprobateurs des gens autour! Mon petit poulet ADORE son petit sac à dos coloré et maman apprécie le fait de 
pouvoir marcher le dos droit, en ayant une extension d’un mètre de tissus entre sa main et les fesses de sa petite merveille!

Que pensez-vous de la laisse? C'est oui ou c'est non?
Commentaires

Quand bébé rencontre pitou - Première partie

4/6/2015

Commentaires

 
Photo

Parce que préparer pitou (ou minou, ou autres!) à l'arrivée de bébé, c'est IMPORTANT.
Photo
CYNTHIA
Je crois que nous sommes plusieurs à avoir eu un pitou ou un minou (ou autres !) avant l’arrivée de Bébé. Des animaux que nous avons investis comme s'ils étaient des enfants. Je remarque, avec le temps, que différents scénarios sont possibles quand Bébé arrive : 1) tout se passe bien et c’est l’harmonie entre Bébé et Pitou; 2) les parents délaissent peu à peu Pitou qui a 
du mal à s’adapter et 3) malheureusement,dans certains cas, Bébé se retrouve en danger. 

Dans ce billet, je souhaite vous sensibiliser aux deux derniers scénarios.

Pour cette première partie, j'aborderai plus précisément la question suivant : qu’arrive-t-il de nos pitous?

Il faut savoir que l’on doit, en tant que maîtres responsables, préparer notre animal de compagnie à l’arrivée de Bébé. Qu’on se le dise, l’arrivée de Bébé change notre vie à jamais. Pour l’animal, un petit être fait irruption dans « sa » maison. Cet être hurle, de jour comme de nuit, a une drôle d’odeur et attire l’attention de tous! 



Photo
Crédit : Cynthia


Il est donc essentiel de préparer nos animaux à la nouvelle vie qui les guette. Je reprends les conseils donnés par Dr Godbout de la Clinique Vétérinaire du groupe Daubigny : 

- Avant l’arrivée de Bébé, préparer l’animal au nouvel horaire qu’il aura lorsque Bébé arrivera. Un horaire réaliste pour les nouveaux parents et qu’il sera possible de respecter lorsque Bébé sera né (repas, promenades, etc.).

- Avant l’arrivée du bébé, laisser l’animal explorer l’environnement du poupon à naître. Il pourra ainsi se familiariser avec de nouvelles odeurs. Rendre ces moments agréables pour lui. Par contre, si vous souhaitez qu’il n’ait pas accès à certains objets 
(jouets par exemple), lui interdire dès le départ. Faire écouter des pleurs de jeunes bébés (sur Youtube par exemple) est une excellente idée.

- Avant l’arrivée du bébé, s’assurer que l’animal répond parfaitement à une consigne du genre « Va sur ton coussin (ou dans ta cage). » Cette consigne sera des plus utiles dans certaines situations avec le nouveau-né où vous aurez besoin d’être tranquilles (allaitement, pleurs,…). Donc, avant l’arrivée du bébé, se pratiquer avec son animal et le récompenser lorsqu’il écoute. Peu à peu, la cage ou le coussin deviendra « sa petite maison » et il risque, au fil du temps, de s’y réfugier dans certaines situations afin d’avoir la paix. 

Photo
Crédit : Cynthia
PhotoCrédit : Cynthia

- Suite à l’accouchement, si possible, un proche pourrait ramener à la maison des vêtements portés par le nouveau-né. Ainsi, l’animal pourra se familiariser avec son odeur avant leur première rencontre.

- Si possible, pendant l’absence des maîtres, faire garder l’animal à la maison et non pas à l’extérieur, afin de diminuer son niveau de stress le plus possible.

- Au retour des parents avec le petit bébé, garder en tête d’accorder de l’attention à l’animal… Un parent peut être avec le nouveau-né, alors que l’autre passe du temps avec l’animal. Essayer de lui accorder 5 à 10 minutes par jour, un moment privilégié, seul avec lui : brossage, promenade, jeux, etc.

- Un nouveau-né étant en général inactif, il est noté que les accidents sont surtout susceptibles d’arriver lorsque Bébé commence à se déplacer. Une attention constante doit alors être 
portée. D’ailleurs, NE JAMAIS laisser un bébé en présence d’un animal sans surveillance, même si l’animal n’a jamais montré de signes d’agressivité. Un animal reste un animal!

- Ne jamais forcer les interactions entre Bébé et l’animal. Laisser l’animal sentir et explorer le bébé à son rythme. À noter que le chat aura tendance à peu s’en occuper. Il faut le respecter et attendre qu’il vienne par lui-même vers Bébé. Pour le chien, c’est généralement le contraire et même s’il ne veut faire aucun mal au bébé, il risque d’être brusque. Il est donc préférable qu’un parent ait le bébé assis sur lui alors que l’autre, porte attention aux gestes du chien et, si possible, le tienne avec la laisse. Rendre l'expérience positive pour vous.











- Si l’animal déborde d’énergie étant donné l’activité physique restreinte (manque de temps et d’énergie des nouveaux parents), ne pas hésiter à l’isoler afin d’éviter tout incident. Pour rendre cet isolement positif (ce n’est pas une punition), lui offrir un jouet, un os, un Kong Toy avec de la nourriture à l’intérieur. D’ailleurs, avant l’arrivée de Bébé, il est possible d’habituer peu à peu l’animal au lieu où vous pensez éventuellement l’isoler en cas de besoin.

- Si tout se passe bien, peu à peu, laissez l’animal participer à différents moments afin d'enforcir sa relation avec Bébé : accepter sa présence lors du bain, lors des changements de couches, etc. 

- Ne pas laisser un chat ou un chien dormir avec un jeune enfant. 

- Garder en tête que la laisse et la muselière peuvent être de bons outils dans certaines situations. Le but étant de protéger Bébé…

- J’ajoute qu’il faut aussi protéger l’animal des comportements de Bébé : ne pas le laisser tirer le poil, sauter sur l’animal, lui tirer les oreilles, etc. En fait, c’est une belle 
occasion pour montrer la douceur à Bébé! J’ai entendu des histoires de super chiens 
ultra doux qui à force de se faire achaler par les enfants, sont devenus agressifs. 

Pensez-y…

- Dans des situations extrêmes, ne pas hésiter à prendre des cours de dressage, à consulter des entraîneurs ou à en discuter avec un vétérinaire spécialisé en comportement animal. Souvent, ces vétérinaires ont une équipe formidable qui saura vous conseiller afin d’aider votre animal à accepter Bébé.

Commentaires

Politesse et intimité

23/5/2015

Commentaires

 
Photo
Source : Weebly

Réflexion sur la politesse enseignée à nos toutes-petites.
Photo
Julie
PhotoSource : Weebly
Depuis que j’ai mis au monde ma fille, je cherche par tous les moyens à lui offrir un environnement stimulant, de qualité, à l’écoute de ses besoins, etc. Je cherche à lui offrir le meilleur possible et surtout, tous les outils pour en faire une enfant heureuse et épanouie. 


Toutefois, élever une fille dans notre société actuelle comporte son alot de défis. Avec le récent mouvement « agression non-dénoncée » et les statistiques qui ont été présentées (1/3 des femmes ont été victimes d’au moins une agression sexuelle, 2/3 
des victimes sont mineures
*), je me suis sérieusement questionnée. 

Comment a-t-on pu en arriver là? Comment, dans mon rôle de femme et de mère, je peux faire ma part pour prévenir ce genre de situations? Comment apprendre à ma fille que son corps lui appartient, à elle et à personne d’autre?

J’ai alors entrepris une grande réflexion sur l’enfance, sur les règles et le «savoir-vivre » enseigné aux petites filles depuis trop d’années pour les compter… et je me suis rappelé quelque chose. 









Je me suis rappelé mon profond malaise, lorsque je devais donner des becs sur les joues des gens et pire encore, recevoir des becs d’une foule de gens. Je ne comprenais pas (et je ne comprends toujours pas d’ailleurs) pourquoi les garçons pouvaient s’en sortir en serrant la main, mais que les filles devaient donner et recevoir les becs sans en avoir le goût, l’envie, le CHOIX. Pourquoi déjà? Ah oui, parce que les filles bien élevées se comportent de cette manière, parce que c’est la politesse. 

Je ne veux pas blâmer qui que ce soit par cette intervention, mais plutôt partager ma réflexion. En enseignant aux petites filles qu’elles doivent donner et recevoir des gestes d’intimité tels que des baisers sans en avoir envie « pour être gentilles », ne sommes-nous pas en train de leur enseigner à tolérer une intrusion dans leur intimité? Ne sommes-nous pas en train de leur apprendre à tolérer le malaise sous prétexte qu’il faut être gentille et polie?

Personnellement, j’ai fait un choix. J’ai fait le choix d’élever une petite fille « mal élevée ». J’ai fait le choix de donner le choix à ma fille et de m’en tenir à ses limites. Pour moi, la politesse «obligatoire » se limitera au « bonjour » et au « au revoir ». Si elle manifeste l’envie de donner un câlin ou un baiser, elle sera libre de le faire, mais jamais elle n'en sera obligée.

Photo
Source : Weebly
Quelles formes de politesses sont de mise avec vos enfants?


* Source : Ministère de la santé et des services sociaux
Commentaires

Le Terrible Two… parce qu’on passera tous par-là!

6/3/2015

Commentaires

 
Photo

Photo

Julie

P’tit poulet n’a que 13 mois et déjà, maman se prépare au Terrible Two! Trop tôt pour y penser? Je ne crois pas. Voici pourquoi!

Le Terrible Two apparaît souvent vers 18 mois et se présente de manière intermittente jusque vers 3 ou 4 ans. On le reconnaît par un désir de « faire seul » et par les réactions émotives démesurées de notre progéniture face à la moindre petite frustration.

Exemple typique du mardi matin : P’tit poulet grimpe la première marche des escaliers et pointe vers le haut. Maman dit : « Non, pas tout de suite, redescend ». P’tit poulet se couche au pied des marches, pleure et crie comme si sa vie en dépendait!

Qu’en est-il vraiment de cette phase de développement?

En fait, à ce stade, l’enfant est en recherche d’autonomie. Il réalise qu’il peut faire certaines choses seul et il a envie d’en faire plus. En soi c’est une super bonne nouvelle. Bébé a grandi, il est intelligent et réalise qu’il n’est plus en totale dépendance par rappport à ses parents.

Dans la réalité l’enfant commence à vivre des frustrations. Celle de ne pas réussir, celle de devoir attendre, celle de ne pas pouvoir choisir tout, tout le temps, tout de suite. Ce sont les bases de l’apprentissage de la tolérance à la frustration et de la gestion de la colère qui en découle.

Il faut donc savoir que c’est NORMAL que bébé crie, pleure et fasse le bacon face au gobelet rouge (alors qu’il voulait le bleu). Il s’exprime avec les moyens qu’il connaît. Il n’a pas encore les outils nécessaires à s’exprimer adéquatement, ce qui provoque l’impuissance et la frustration, d’où la colère. Ouf!

Comment y survivre? Voici mon petit guide du parent-éducateur!

1) On reconnaît que la colère cache toujours une autre émotion (pour l’enfant comme pour nous d’ailleurs). On commence par apprendre à gérer sainement notre propre
colère (reconnaître l’émotion qu’on ne veut pas vivre et qui s’exprime en colère) pour être ensuite en mesure d’enseigner les techniques à nos enfants.

Techenique simple:

- Se demander quelle émotion nous met dans cet état (impuissance, injustice, etc.);

- Se demander de quelle manière on peut, concrètement et rationnellement reprendre le contrôle;

- Accepter que la situation est actuellement (très) désagréable, mais qu’elle aura une fin.

2) Identifier et nommerles émotions vécues par l’enfant.

Exemple :
«Je vois que tu es en
colère. Tu aurais voulu le gobelet bleu, mais c’est impossible ce matin. Tu peux être faché, mais c’est le rouge quand même
».

3) Enseigner que la crise n’amène pas de pouvoir. On ne change pas nos plans! En obtenant le gobelet bleu, bébé voudra peut-être avoir le jaune finalement… Il apprend que
crier lui donne ce qu’il veut ET SURTOUT, il n’apprend pas à vivre de petites frustrations.

4) Être constant dans l’application des règles (si c’est non, c’est non).

5) Prendre une grande respiration et demander à l’autre parent de prendre le relais si nous sommes trop fatigué pour entendre bébé crier.

6) Ignorer la crise, tant que l’enfant ne se met pas en danger.

Suite de mon exemple du mardi matin :

P’tit poulet grimpe la première marche des escaliers et pointe vers le haut. Maman dit : « Non,
pas tout de suite, redescends ». P’tit poulet se couche au pied des marches, pleure et crie comme si sa vie en dépendait! Hourra! P’tit poulet respecte la consigne et je peux ignorer la crise.

Si P’tit poulet décide de monter les marches quand même, maman l’attrape au vol, la dépose au pied des marches et répète « Non, pas tout de suite ». Si P’tit poulet est déterminé à monter à nouveau, le parc devient un bon allié. Dépose P’tit poulet dans son parc pour qu'il vive sa crise en sécurité.

Après un retour au calme, nous nous collons, nous nous aimons et nous répétons la raison pour laquelle P’tit poulet ne peut pas monter seul : « C'est dangereux de monter seul, tu peux te faire des bobos. Tu attends maman pour monter. »

Comment avez-vous survécu à cette période? Quels ont été vos meilleurs trucs?

Sources :

Naitreetgrandir.com


Mamanpourlavie.com


nannysecours.com
Commentaires

résolution 

16/1/2015

Commentaires

 
Audrey nous parle de sa résolution pour 2015. Suivez la sur sa nouvelle page Facebook, Audrey Fortier - Athlète!
Photo
Photo

Comme le jour de l’an = résolutions, j’ai décidé de vous parler de la mienne. Ou plutôt des miennes.

Alors, comme 75% de la population (chiffre pas du tout officiel) j’ai décidé de me remettre en forme!

Pour être originale, j’ai choisi de changer mon alimentation en réduisant mes portions, en mangeant mieux et en devenant végétarienne (tout en conservant les poissons et les fruits de mer pour l’instant).

Ensuite, je veux perdre du poids et me mettre à l’exercice physique. J'ai une cinquantaine de livres en trop et dans le rythme effréné de la vie de famille, je ne trouve pas, ou plutôt je ne prend pas le temps de faire de l’exercice. Je me suis donc fixé un objectif : courir le 10 kilomètres en sentiers de l’Ultra-Trail Harricana de Charlevoix en septembre 2015. 

Mon amoureux trouve que c’est très ambitieux comme objectif étant donné que je pars de zéro et que je n’ai jamais couru, mais j’aime le défi!

Je me suis concocté un plan d’entraînement très graduel qui débute par de la marche rapide 4 fois par semaine, et je pense qu’en m’y tenant, ça devrait bien fonctionner. Je me vois déjà franchir la ligne d’arrivée avec fierté! 

Je me suis même créé une page « athlète » sur Facebook pour m’encourager quand ça sera plus dur sur le moral, pour suivre mon évolution et pour encourager d’autres personnes à se prendre en main!

Je pense que quand on devient parent, on projette une image que nos enfants sont très susceptibles d'imiter.  Oui, je veux me sentir bien dans ma peau et être en santé. Mais par-dessus tout, je veux être en forme pour mes enfants, pour leur montrer que c’est important de bouger et que c’est bien plus le fun de le faire tous ensemble que de rester collés derrière nos ordinateurs! 


Je pense vraiment qu’il n’est jamais trop tard pour adopter de bonnes habitudes de vie. Ça fait maintenant deux grosses semaines que j’ai commencé à bouger un peu et je ressens déjà les bienfaits, alors je continue! 


Et, ce n’est pas parce que c’est ne résolution qu’on ne doit pas la tenir hein? Haha!



Commentaires

Top 5 des meilleures activités du temps des Fêtes selon Élizabeth!

29/12/2014

Commentaires

 
Photo
PhotoSource: Les sœurs Cimon
C'EST LE TEMPS DES FÊTES ! Eh oui, j’attendais les vacances impatiemment cette année.

Elles sont un bon moment pour se reposer! PAR CONTRE, je me permets quand même de vous partager mon TOP 5 des activités les plus plaisantes à faire lors des vacances de Noël !

Je suis certaine que vous avez eu un début d’année éprouvant, vous également, mais rien ne nous empêche de nous amuser un peu pendant les vacances.

1. De jolis petits biscuits, nous ferons !

J’adore cuisiner durant le temps des fêtes et encore plus lorsqu’il est question de dessert… Si vous ne voulez pas vous casser le beignet avec vos enfants, de petits biscuits au beurre sont amplement suffisants. Cette recette de Ricardo est parfaite!

Après avoir réalisé la recette, c’est le moment de sortir la folie de Noël en nous ! On sort de nos armoires les emporte-pièces, les petits bonbons décoratifs, le colorant alimentaire et le fameux glaçage. Rien de compliqué… mais vous verrez les yeux de vos enfants briller, c’est garanti ! Ils seront même très fiers de leur création. Laissez aller votre imagination !


































2. Dehors, nous irons !

Quoi de mieux que d’aller dépenser son énergie à l’extérieur lorsqu’il fait beau !

Habillez-vous chaudement et sortez avec vos enfants faire ce dont vous avez envie : glissades, bonhommes de neige, raquette, forts,  anges dans la neige et j’en passe. Et tant qu’à y être, pourquoi ne pas inviter les grands-parents, cousins et cousines à venir jouer dehors avec vous ?

Photo
Source: Élizabeth Cimon
PhotoSource : Pinterest

3. Chocolat chaud, moka, café, alouette !

Les boissons chaudes et moi, ça ne fait qu’un ! Vraiment… Quoi de mieux que d’arriver à la maison après une grosse journée ou une belle après-midi à l’extérieur et de se faire un bon chocolat chaud. En fait, RIEN ! Hihi. Une belle activité à faire avec les enfants puisque comme les biscuits, vous pouvez laisser aller votre imagination. 

Ajout de guimauve ? Canne en bonbons ? Petits morceaux de chocolat ? Tout ça semble délicieux, pas vrai?


4. Des films en pyjama, nous regarderons ! 

Bon je l’avoue, j’adore cette activité…. 


Mettre mon pyjama, mes pantoufles que grand-maman me tricote avec amour et choisir un bon vieux classique de Noël. 


« Opelay »! Vous venez de me perdre pour quelques heures… Et c’est encore mieux lorsqu'on est 
emmitouflé dans plusieurs doudous avec un petit feu de foyer… 


Bref, avant que je retourne à mon activité préférée, voici quelques petits films de Noël à écouter avec vos petits flocons d’amour : 


  • Sur les traces du Père Noël (le premier bien entendu…!)
  • Elfe
  • Miracle sur le 34ème rue
  • Le drôle de Noël de Scrooge (Disney)
  • Maman j’ai raté l’avion


5. Prendre du temps pour faire N’IMPORTE QUELLE activité en famille

Eh bien oui ! Les vacances sont là pour ça, passer du bon temps en famille. Moi c’est clairement ce que je préfère! Qu’on soit dehors pour jouer, qu’on cuisine, qu’on soit assis autour d’une table pour jouer à un jeu de société ou même prendre soin de notre beau visage, haha! Peu importe. La famille, c’est important, et c’est le temps de dire à tous que vous les aimez! On ne le dit jamais assez... 

Alors, quittez cet article sur-le-champ et allez dire à vos proches que vous les aimez!!!


Photo

Quelles sont vos activités préférées lors des vacances de Noël ?

Élizabeth
Picture
Commentaires

La place des amis quand on devient un parent

11/11/2014

Commentaires

 
Photo
Des amis c'est précieux. Toujours. Même quand on devient un parent.
Photo

Avant d'accueillir Jules dans notre vie, mon doux mari et moi étions toujours à gauche à droite, d'une activité à une autre, avec nos amis tous aussi extra les uns que les autres. On profitait de la vie, celle sans enfant. Sachant pertinemment que beaucoup de choses allaient changer à la minute que ce petit être tant attendu se pointerait le bout du nez : priorités, responsabilités, activités et possiblement même fréquentations.

Nous n'avions pas tort, mais pas tout à fait raison non plus. Nos priorités sont maintenant bien sûr très différentes, nos responsabilités plus grandes. Surtout avec un enfant qui a besoin de petites attentions particulières comme notre Jules. Quant à nos activités et nos fréquentations, force est de constater que la naissance d'un enfant, sa maladie, additionnés d'un déménagement en région, nous a confrontés à quelques déceptions...mais aussi, heureusement, à de petits et grands bonheurs.

Parmi ceux-ci, celui de réaliser avec soulagement les liens solides que nous conservons avec plusieurs amis-sans-enfants malgré les vies très différentes que nous menons actuellement. Ces amitiés sont importantes, entre autres parce qu'elles nous rappellent qui nous sommes en dehors de notre nouveau rôle de parents et nous démontrent, en quelque sorte, que nous avons su garder en nous un peu de ce que que nous étions avant ce nouveau chapitre de notre vie.

Un autre bonheur est celui de nous rapprocher d'amis qui vivent en même temps que nous la grande aventure de fonder une famille. Parce que disons-le, c'est bien plaisant de pouvoir échanger avec d'autres qui vivent la même réalité, du moins à quelques détails près. T'sais se sentir «dans le même bateau»! Bref, dans notre cas, amis-sans-enfants ou pas, plusieurs sont encore là, nous rappelant que malgré les changements majeurs dans notre vie, certaines amitiés sont LÀ pour RESTER. 

Et puis, il y a ces amitiés qui nous obligent à ajouter une catégorie à nos relations. Ces personnes toutes spéciales qui ne sont ni seulement des amis, ni seulement de la famille. Elles sont un mélange de tout ça et bien plus encore. Elles sont la famille sans les liens de sang. Parce qu'ils sont là pour nous et que nous sommes là pour eux. Pas juste quand ça va bien, mais aussi dans les moments difficiles. Parce qu'avec certains, nous donnons raison au dicton «Loin des yeux, près du cœur». Mais surtout, parce que nous avons vraiment l'impression que peu importe les tempêtes, ils resteront et nous avons l'intention d'en faire tout autant.

Nous remercions souvent la vie de nous entourer de gens extraordinaires. Parce que c'est ÇA la richesse. Du moins, c'est ce que nous croyons et que nous souhaitons transmettre à notre Jules.

Quelle place vos amitiés prennent-elles dans votre nouvelle vie de parents?
Commentaires

Quand les CŒURS d'enfants font revivre les traditions familiales au grand bonheur de tous!

31/10/2014

Commentaires

 
Photo
Crédit : Pierre-Luc Larouche

Stéphanie nous raconte sa soirée d'Halloween...et profite de l'occasion pour crier haut et fort combien sa sœur est une marraine extra!
Photo
Ce soir, Pierre-Luc et moi célébrions l'Halloween pour la première année avec notre fils. Et pas avec n'importe qui. Avec sa Mommy Huguette, sa petite-cousine Rébecca, son oncle Sébastien et sa tante Christelle, son parrain Samuel...mais surtout, avec sa marraine Élizabeth.

Pourquoi dis-je « surtout »? Parce que c'est d'elle dont j'ai envie de vous parler ce soir.  
De son (grand) cœur d'enfant. De son don de nous faire revivre depuis l'arrivée de son filleul les traditions familiales qui s'étaient un peu perdues avec le temps. 

Tout a commencé avec la fête de Pâques. Alors que tout le monde dormait encore, je m'étais réveillée aux petites heures pour allaiter Jules et javais vu ça :
Photo
Crédit :`Stéphanie Cimon

Les larmes étaient alors montées, j'étais émue. Quand nous étions enfants, papa et maman nous organisaient une chasse aux trésors à Pâques et signaient Jeannot Lapin. C'était comme dans le temps. C'était parfait. Elle avait su faire revivre une tradition familiale qui n'aurait jamais dû se perdre. C'est papi Denis qui devait être fière d'elle!

Les mois ont passé et voilà que l'Halloween arrivait à grands pas. La première chose que nous avons su c'est qu'Élizabeth trouvait un déguisement à notre raton national et qu'elle et son conjoint Sam, le parrain,planifiaient venir passer l'Halloween avec nous, ici, à Saint-Fabien. T'sais, faire trois heures de route après le travail, arriver déguisée et passer l'Halloween le sourire fendu jusqu'au oreilles....elle l'a fait, sans hésitation. Pour Jules, pour notre famille.

Ce soir, on s'est costumés, on a passé l'Halloween en famille, on a trié les bonbons sur le lit de Mommy Huguette, avant de chacun choisir nos préférés. Pour rire et parce qu'on le faisait « dans le temps », on a même mangé un bonbon ultra sure en riant.
Photo
Crédit: Les sœurs Cimon/ Montage : Stéphanie Cimon

L'Halloween et toutes les autres fêtes de ce genre, sont des occasions de se rassembler, de vivre des moments magiques avec nos proches. C'est ce que mes parents m'ont appris et c'est ce que je souhaite apprendre à mon fils à mon tour. Certains diront que ce ne sont que des fêtes « commerciales » sans intérêt. Pour ma part, je crois qu'elles prennent le sens que nous voulons bien leur donner. Voilà tout.

Ce soir, j'ai passé une soirée mémorable. Grâce à tous ceux qui ont bien voulu vivre ce premier Halloween avec nous, mais surtout, grâce à ELLE.


Je t'aime ma sœur. Merci d'être une marraine aussi exceptionnelle pour mon fils.


Avez-vous des traditions familiales? Désirez-vous les faire vivre à vos enfants? 
Commentaires

Je suis déconnectée (et toujours vivante...)!

9/10/2014

Commentaires

 
Photo
Crédit photo : Audrey Fortier

Audrey explique son choix de quitter Facebook
Picture
*Note : Je me suis reconnectée après 2 semaines de sevrage difficile, mais je regrette déjà mon manque de volonté! Peut-être que, tout comme l’arrêt de la cigarette, j’aurai besoin de plusieurs tentatives pour enfin réussir!!
La semaine dernière je l’ai fait... J’ai fait le grand saut et je me suis déconnectée de Facebook!

Ça faisait quelques temps que l’idée me trottait dans la tête. J’étais devenue blasée, je déroulais mon fil d’actualité par automatisme, par habitude et de façon presque frénétique. 

J’étais carrément droguée. Chaque 5 minutes (j’exagère à peine!) j’allais vérifier si j’avais des notifications, voir qui avait posté de nouvelles photos ou qui avait publié un super article que je ne pouvais pas manquer.

 J’avais l’impression de manquer de temps, alors que mon temps je le passais à perdre mon temps. Bien sûr je m’ennuie de mon monde pour la plupart, ceux avec qui je partageais. Je m’ennuie des likes sur les photos de mes enfants, des gentils commentaires sur mes statuts. 

Facebook m’a aussi permis de connaître de nouvelles personnes, d’apprendre plein de choses sur plein de sujets passionnants. Je m’ennuie de tout ça, mais il y a aussi 1 million de choses qui ne me manqueront pas : les pseudo-débats sans émotions et souvent sans respect, cachés derrière des écrans, des statuts de monde qui racontent littéralement TOUTE leur vie en détail. Les statuts de vie sexuelle ou les statuts de chicane de couple! J’

J'ai l’impression que Facebook a fait de nous des robots pu de vraie vie! Quand tu dois dire à tes enfants «attends 2 minutes, j’ai un truc à lire... puis un autre, puis encore un autre...» ça veut clairement dire que Facebook prend trop de place dans ta vie.

1 semaine plus tard, je suis toujours en sevrage et c’est difficile... aussi difficile que lorsque j’ai arrêté de fumer! Dans l’après-midi, quand je suis seule pendant la sieste du bébé, c’est là que c’est le plus difficile et je me retiens à deux mains pour ne pas aller «juste deux minutes» sur la page de mon chum! OUF!!!

En attendant, je me trouve d’autres projets : je fais de la compote de pommes, je répare les 
toutous troués depuis longtemps, j’étudie, je fais de l’exercice, je me lance à fond dans les 
études de mon fils qui est en première année (pauvre lui!) et le plus important, je prends le temps de vraiment être avec ma famille. Quand mon grand garçon me dit qu’il est content et que j’ai fait la bonne chose, ça m’encourage et ça m’aide à oublier un peu tout ce qui me plaisait dans ma page Facebook. 


Les enfants ont de ces façons des fois de nous démontrer ce qu’ils comprennent de la vie et de nous faire réaliser ce que nous sommes!

Peut-être que j’y retournerai un jour, mais ce jour là, j’aurai appris à gérer le temps que je 
passerai à l’écran et l’ordinateur restera fermé quand les enfants seront debout. En attendant je continue de prendre des photos, mais je les envoie seulement à mon chum par courriel, parce qu'il a toujours été mon fan numéro 1.

Je retourne maintenant dans ma vraie vie avec mon vrai chum qui écoute le hockey bouhou!! 


Commentaires

Le lien d'attachement : de la théorie à la vraie vie!

5/9/2014

Commentaires

 
Photo
Crédit photo : Julie Breton

Parce qu'on en entend parler à la minute qu'on devient parent... 

Ce qu'il y a à savoir sur le lien d'attachement... de la théorie à la vraie vie!

Photo
Julie



PhotoCrédit photo : Wikipedia/Montage : Stéphanie Cimon
Tout comme la plupart des parents, vous avez certainement déjà entendu parler du lien d'attachement! 

En gros, il s'agit de la relation qui se développe entre un enfant et l’adulte qui en prend généralement soin au cours de ses premières semaines de vie. Il est basé sur les besoins de sécurité, de réconfort et d’apaisement que le bébé va trouver auprès de son parent. 

Le lien d’attachement développé pendant les premières semaines de vie d'un bébé constitue les bases de la personnalité de l’adulte qu'il deviendra. Il déterminera ses patterns sociaux et affectifs futurs, c'est-à-dire qu'une fois adulte, il reproduira le même type de relation avec les autres qu'il aura connu avec ses parents, en plus d’affecter son développement cognitif (sa capacité d’apprendre). Bonne nouvelle pour les parents : :ce lien est tellement essentiel à la survie des bébés, qu’ils cherchent naturellement à l’établir. Nous n’avons donc, en principe, qu’à leur répondre adéquatement. 

Le DÉFI du lien d'attachement est de répondre de manière rapide et constante en étant disponible et sensible aux besoins de notre enfant. Pour le relever, il faut donc répondre à tous les besoins fondamentaux (t'sais, la pyramide de Maslow là!) avec rapidité, constance, prévisibilité et chaleur. Évidemment, on comprend ici que les besoins de notre bébé concernent les 3 étages du bas de la pyramide (physiologiques, sécurité, appartenance et amour). Toutefois, dès que notre enfant grandit, il est bon de garder à l’esprit que ses besoins d’estime et de réussite font alors aussi partie des « besoins de base ».
























Pour être réellement disponible, le parent doit être reposé, en bonne santé et intéressé à son enfant. Il doit faire preuve d’une grande souplesse, puisque cela demandera souvent de se mettre de côté (parfois même de s’oublier un peu) pour répondre en priorité aux besoins de son enfant! 


Non... un bébé, ça ne se gâte pas si on accoure quand il pleure et non, on n’en fera pas un enfant capricieux! Au contraire, le fait de répondre à ses moindres besoins avec rapidité et constance dans les premières semaines va l’amener à développer un sentiment de sécurité personnelle et envers la relation avec son parent. C'est ce même sentiment de sécurité qui l’amènera peu à peu à être plus patient, à être moins demandant et à nous laisser respirer un peu! Qu’on se le dise une bonne fois pour toutes, un nourrisson n’a pas de patience! Il apprendra à la développer quand il sera certain qu’il est en sécurité. Il est à noter qu'il a été démontré que les parents qui répondent rapidement aux pleurs des enfants lors des premières semaines de vie ont des bébés qui apprennent plus rapidement à se réconforter seuls et qui pleurent moins vers l'âge de 7-8 mois que ceux du même âge!

Vous comprendrez donc que « laisser pleurer un bébé » est une technique à éviter, voire proscrire, puisqu'elle lui enseigne que son parent ne sera pas toujours là pour l’aider en cas de besoin. Cela peut alors engendrer une insécurité difficile à faire disparaître par la suite. Évidemment, il vaut mieux une petite insécurité qu’un bébé secoué par un parent irrité, fatigué ou déprimé. C’est donc au parent de faire la part des choses et d’utiliser son jugement pour évaluer la situation qui se présente à lui et agir (réagir) au meilleur de ses capacités.

Le SECRET : observer son bébé. Savoir reconnaître les signes de faim, de sommeil, d’ennui, de peur, etc. pour être en mesure de bien y répondre. En jouant avec bébé lors de ses périodes d’éveil et en observant ses réactions, on peut tranquillement, mais sûrement, arriver à anticiper ses besoins et savoir y répondre rapidement et adéquatement.

Un APERÇU des problématiques associées à l'absence d'un lien d'attachement sécurité:

L’absence de ce lien privilégié dans la petite enfance est associé à des troubles permanents et pratiquement irréversibles (même dans les cas où il y a un traitement) de socialisation. Puisque l’enfant a « compris » qu’il était laissé à lui-même et qu’il ne pouvait compter sur personne (sentiment d’abandon profond), il se montre peu disposé à aimer et à se laisser aimer. Il crée donc des relations superficielles avec les autres qui deviennent facilement interchangeables. Aussi, puisque le cerveau d'un enfant se développe dans le plaisir (les hormones de stress mettant le corps en état de « survie » qui arrête alors de se développer de manière momentanée pour faire face au stress), les enfants qui ont un bon lien d’attachement développent davantage leurs capacités cognitives.

En bref, même si c’est difficile (parfois même inhumain!), faisons notre gros possible et nous serons ensuite grandement récompensés plus tard, lorsque nos bébés devenus grands auront confiance en eux, en leurs capacités et sauront créer à leur tour des relations saines et enrichissantes!

Aviez-vous entendu parler du lien d'attachement avant la venue de votre petit? Est-ce que le développement de ce lien avec lui vous a préoccupé les premières semaines suivant son arrivée dans vos vies?

Sources:
- «L'attachement, un lien pour la vie » du site Soins de nos enfants (Société canadienne de pédiatrie);
-  «Liens et attachement » du site de référence Naître et grandir;
- «L'attachement, un départ pour la vie» de la Collection du CHU de Sainte-Justine pour les parents;
-  « Les troubles de l'attachement » de la Revue professionnelle du conseil multidisciplinaire (Défi jeunesse), Centre jeunesse de Montréal.


Commentaires
<<Précédent


    MAMAN AVERTIE ET CIE

    Blogue collaboratif qui aborde différents sujets liés à la parentalité et qui parle du beau qui se fait par des entreprises québécoises pour la famille!



    Projet spécial 
    "çA NOUS TIENT À COEUR" 


    Maman avertie et Cie et
    Boîte à Doudou  s'unissent pour la cause de la fibrose kystique


    Rejoindre le groupe Facebook
    PARENTS AVERTIS



    Pour échanger avec d'autres parents qui ont à cœur le bien-être des tout-petits!




    Archives

    Octobre 2016
    Septembre 2016
    Août 2016
    Juillet 2016
    Juin 2016
    Mai 2016
    Avril 2016
    Mars 2016
    Février 2016
    Janvier 2016
    Décembre 2015
    Octobre 2015
    Septembre 2015
    Juillet 2015
    Juin 2015
    Mai 2015
    Avril 2015
    Mars 2015
    Février 2015
    Janvier 2015
    Décembre 2014
    Novembre 2014
    Octobre 2014
    Septembre 2014
    Août 2014
    Juillet 2014
    Juin 2014
    Mai 2014

    Categories

    Tout
    Amélie
    À Propos
    Audrey
    Bec Et Bobo
    Bijoux De Trouvailles
    Bonnes Habitudes De Vie
    Bon Pour Le Bedon
    Collaboration Boîte à Doudou
    Concours
    Cynthia
    Développement Apprentissages
    DIY
    Éducation
    Élaine
    Élizabeth
    Entraide Partage Solidarité
    Entraide-partage-solidarité
    Entreprises Québécoises
    Équipe Maman Avertie Et Cie
    Fibrose Kystique
    Fibrose Kystique Québec
    Isa
    Jenny
    Jules
    Julie
    Lecture Pour Tout-petits
    Lectures Pour Parents Avertis
    Le Goût Du Bonheur
    Lisa Marie
    Lisa-Marie
    LM BOUTIQUE EN LIGNE
    Mieux Vaut Prévenir Que Guérir
    Mieux Vaut Prévenir Que Guérir
    Mieux Vaut Prévenir Que Guérir
    Noël
    Offre Exclusive
    Parents Avertis
    Petits Préférés Du Mois
    Projet Spécial "Ça Nous Tient à Coeur"
    Services/Organismes Communautaires/Entreprises Privées
    Stéphanie
    Stéphanie
    Stéphanie Pour TPL Moms
    Texte Chouchou
    Trouvailles Made In Quebec
    Vie De Famille
    Viva Aromathérapie
    Voir La Vie En Vert

    Flux RSS

Propulsé par Créez votre propre site Web unique avec des modèles personnalisables.
Photos utilisées sous Creative Commons de The Nick Page, GoodNCrazy, donnierayjones, AliiOlii, flow-to-graff, Brian Patrick Photography, zeitfaenger.at, donnierayjones, quinn.anya, donnierayjones, SpaceShoe [Learning to live with the crisis], Panayiotis Filippou, Carodean Road Designs, 305 Seahill, quinn.anya, amseaman, smoorenburg, gagilas, Leonard John Matthews, Priceless_Video, Archives New Zealand, donnierayjones, jcmejia_acera, storyvillegirl, rubyfenn, BiblioArchives / LibraryArchives, chefranden, donnierayjones, Daquella manera, abbybatchelder, Stefano Intintoli, Felipe Fernandes Photography